Nom du blog :
lavezauziere
Description du blog :
Elevage de la Vezauziere
Poneys Français de Selle
Poneys de sport
Catégorie :
Blog Sports
Date de création :
15.07.2010
Dernière mise à jour :
29.08.2011
Accueil
Gérer mon blog
Créer un blog
Livre d'or lavezauziere
Contactez-moi !
Faites passer mon Blog !
· OLASKA
· Rencontre de Volaskad'o Vezauzière avec Quatre-quart
· Comment j’ai atterri en Vendée
· Lamotte Beuvron Finale 6 ans, QUPID'O VEZAUZIERE
· Ce n'est qu'un au revoir Qupid'o
· Un nouveau venu
· Album de photos souvenirs OLASKA
· Photos Qupid'o
· Un grand merci à toi Tiburce
· Lamotte Beuvron Finale 6 ans, QUPID'O VEZAUZIERE
· Qupid'o Vézauzière
· Une année est passée.
· BOKA D'O VEZAUZIERE
· MES AMIS D'ANGLETERRE
· Album de photos souvenirs OLASKA
finale fond photo belle travail fille the annonce concours voyage chevaux japon angleterre poney compétition talland school of equitation cirencester chevaux
Derniers commentairesje suis au centre équestre de geneston .je monte souvent tiburce et passe beaucoup de temps avec lui.c'est un
Par margot hoenen, le 27.06.2013
quand est-ce qu'on va voir des photos de kir sur ton blog?
jean-pi erre lehmann
Par Jean-Pierre Lehman, le 06.05.2012
fascinant cette histoire et bravo tiburce! et mahaut! je vois que tu as écrit ceci le jour de mon anniversaire
Par Jean-Pierre Lehman, le 10.09.2011
tro bel foto!
Par toumi, le 30.08.2011
on attend toujours avec impatience le concours de lamotte et c'est l'occasion du maintenant traditionnel cadea
Par Yvette, le 29.08.2011
J’ai monté Olaska à son plus haut niveau enconcours complet pendant 4 ans. Puis, ayant atteint l’age de 17 ans, je ne pouvais plus sortir encompétition poney et malgré sa générosité, Olaska commençait à « fatiguer » dans lesconcours chevaux, surtout au niveau « B ». Elle avait quand même de petites jambes comparées à celles deschevaux . De plus , je devais faire un choix dans mes études… L’école n’étant pas trop mon truc, j’ai eu la chance que mes parents veuillent bien que j’intègre la plus grande (à l’époque en tout cas) école d’équitation en Angleterre (The Talland School of Equitation à Cirencester).
Donc, Olaska est partie à la reproduction tandis que moi je partais me spécialiser à fond dans leschevaux et passer mon monitorat. J’ai passé presque 2 années dans cette école. Cotétravail, c’était dur, très dur. On travaillait 7 jours sur 7. Comme on dit « c’était pire que l’armée », d’ailleurs la directrice était la fille d’un colonel à la retraite. On avait des « uniformes » et tout était réglementé et très stricte ! Par contre quel respect pour leschevaux (plus que pour nous d’ailleurs). Tout était soigné, les chevaux, les écuries et tout ce qui touchait à ce monde. Ces années ont aussi été merveilleuses pour moi, une vie entourée de ma passion, mon 1er appart, le passage du permis de conduire, la liberté. De très très bons souvenirs d’amis, de fêtes, de défis (un conseil, ne jamais rien m’interdire, l’envie en est trop forte…) etc…
Après le monitorat, je commençai à préparer l’instructorat, mais bon, les examens et moi avons des petits soucis d’entente !!! Alors, un jour en regardant un magazine spécialisé dans leschevaux, j’ai vu une annonce pour aller travailler dans une écurie au Japon. Ayant le goût duvoyage (ça doit être de famille !!!), j’ai tout de suite été interpellée par cette annonce. Le hic étant qu’ils recherchaient une personne entre 25 et 30 ans et je n’en avais que 19 ! Enfin, je ne me suis pas dégonflée (à cet age, tout nous semble possible), un C.V, une lettre de motivation, une très belle lettre de recommandation de mon école et quelque mois plus tard j’ai été sélectionnée parmi 77 candidatures. Entretien avec un envoyé venu spécialement du Japon et, hop c’était parti pour le Pays du Soleil Levant. WHAOU !
Après l’Angleterre, le Japon pour 1 an, le temps accordé par le visa detravail. Je me suis retrouvée responsable d’une écurie de saut d’obstacle de 9chevaux. Une écurie entourée de rizières. Quelle expérience !!! J’enseignais à des élèves japonais, en anglais, qui ne comprenaient pas grand-chose, voir rien du tout, donc je m’expliquais tant bien que mal par gestes et arrivais à me faire comprendre, c’était assez drôle et quelle expérience là aussi. D’ailleurs c’est dans ce pays que je me suis rendue compte qu’il y avait d’autres choses passionnantes dans la vie en dehors deschevaux. Je dois dire que comme ouverture d’esprit , quoi de mieux que d’aller à l’autre bout du monde, d’être confronté à une culture complètement différente de la notre. Une année très riche, mais j’étais quand même contente, après l’Angleterre et le Japon de remettre les pieds dans le pays des cuisses de grenouilles (miam-miam) et c’est en revenant du Japon que j’ai atterri en Vendée, où j’ai retrouvé mon cher Ivan Scherer (encore lui), qui, entre temps, s’était installé à Talmont St- Hilaire.
Le début d’une nouvelle « vie » commençait en Vendée…
Photo: les écuries en Angleterre autour de l'église
Super Mahaut! je prends toujours plaisir à lire ton histoire .Et crois moi c'est plus intéressant que mon programme de littérature!à Bientôt!